En éveillant une réflexion...
Encore une fois la multimedialité: c'est dans le twitter que j'ai eu l'accès à ce texte du blog "crise dans les médias". Bien que je fasse conscience que ce sujet-là est une question d'autre approche, il m'est arrivée une discussion, tout de même, assez répandue actuellement: le journal en papier disparaîtra-t-il au fur et à mesure que les nouvelles technologies de l'information jouent un rôle de plus en plus important?
Quand on parle de la fin du journal, ce moyen d'information qui fut longtemps le principal à travers duquel les gens s'informaient sur ce qui se passait autour d'elles, on voit qu'il ne l'est plus. Au moins, non plus comme avant.
Moi même suis l'un parmi de nombreux appartenant à cette génération qui change, parfois, le journal en papier pour un moyen davantage dinamique, réunissant des textes, des vidéos, des photos et tout ce qu'on peut imaginer dans un seul écran. C'est formidable la façon dont l'ordinateur et les technologies qu'il a introduites, dans l'ensemble, nous affectent au jour le jour, ainsi que le pouvoir qu'elles ont de modifier notre façon de concevoir le monde à l'égard de l'information.
Tout cela suffit, quand même! Vers où, en fin de compte, cette discussion nous amènera-t-elle? Or, la réponse on la sait bien: nulle part, quoi!
La question prépondérante peut-être soit que les journaux en papier doivent désormais partager leur place au terrain de la communication avec d'autres moyens qui augmentent de même leur importance auprès de la société — toujours dinamique, d'ailleurs. Et c'est tout. Les journaux ainsi ne finiront pas par terminer pour autant. Cela ne veut pas dire que, après des siècles d'existence, ils vont soudain disparaître.
Il y a un changement, bien sûr. Pourtant on ne va pas remplacer les journaux en papier pour quoi que soit-il, puisque — il ne faut pas oublier — l'information imprimée est encore celle qui durera le plus, qui ne s'éffacera pas tout à l'heure. Euh bien, pour presque conclure la confiance que j'y fais, les usages différents des moyens de communication nous offrent le pouvoir de choisir le plus convenable à chaque moment. C'est à dire que la diversité doit prévaloir, se faisant, chacun à leur tour, importants tous les moyens — des traditionnels aux plus nouveaux, papier et electroniques ensemble.
Tenez... certaines habitudes on ne les perd pas si facilement; et lire un journal que l'on puisse feuilleter au matin sans doute en est une.
En outre, pour l'instar, le bon et vieil journal en papier nous sert bien à n'importe quoi; il suffit de la créativité pour savoir qu'en faire.
Encore une fois la multimedialité: c'est dans le twitter que j'ai eu l'accès à ce texte du blog "crise dans les médias". Bien que je fasse conscience que ce sujet-là est une question d'autre approche, il m'est arrivée une discussion, tout de même, assez répandue actuellement: le journal en papier disparaîtra-t-il au fur et à mesure que les nouvelles technologies de l'information jouent un rôle de plus en plus important?
Venue cette question, je me suis dit: bah! Ce n'est pas une nouveauté ainsi, au terme...
Le fait c'est que, plus étrange que cette réalité puisse nous paraître, elle est courante, et elle est là... en nous touchant directement.
Le fait c'est que, plus étrange que cette réalité puisse nous paraître, elle est courante, et elle est là... en nous touchant directement.
Quand on parle de la fin du journal, ce moyen d'information qui fut longtemps le principal à travers duquel les gens s'informaient sur ce qui se passait autour d'elles, on voit qu'il ne l'est plus. Au moins, non plus comme avant.
Moi même suis l'un parmi de nombreux appartenant à cette génération qui change, parfois, le journal en papier pour un moyen davantage dinamique, réunissant des textes, des vidéos, des photos et tout ce qu'on peut imaginer dans un seul écran. C'est formidable la façon dont l'ordinateur et les technologies qu'il a introduites, dans l'ensemble, nous affectent au jour le jour, ainsi que le pouvoir qu'elles ont de modifier notre façon de concevoir le monde à l'égard de l'information.
Tout cela suffit, quand même! Vers où, en fin de compte, cette discussion nous amènera-t-elle? Or, la réponse on la sait bien: nulle part, quoi!
La question prépondérante peut-être soit que les journaux en papier doivent désormais partager leur place au terrain de la communication avec d'autres moyens qui augmentent de même leur importance auprès de la société — toujours dinamique, d'ailleurs. Et c'est tout. Les journaux ainsi ne finiront pas par terminer pour autant. Cela ne veut pas dire que, après des siècles d'existence, ils vont soudain disparaître.
Il y a un changement, bien sûr. Pourtant on ne va pas remplacer les journaux en papier pour quoi que soit-il, puisque — il ne faut pas oublier — l'information imprimée est encore celle qui durera le plus, qui ne s'éffacera pas tout à l'heure. Euh bien, pour presque conclure la confiance que j'y fais, les usages différents des moyens de communication nous offrent le pouvoir de choisir le plus convenable à chaque moment. C'est à dire que la diversité doit prévaloir, se faisant, chacun à leur tour, importants tous les moyens — des traditionnels aux plus nouveaux, papier et electroniques ensemble.
Tenez... certaines habitudes on ne les perd pas si facilement; et lire un journal que l'on puisse feuilleter au matin sans doute en est une.
En outre, pour l'instar, le bon et vieil journal en papier nous sert bien à n'importe quoi; il suffit de la créativité pour savoir qu'en faire.
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